Antoine FURETIÈRE, fabuliste, poète et romancier, avait été élu à l’Académie en 1662 (fauteuil 31). Voici l’anecdote que j’ai trouvée dans le livre de Guillaume-Thomas Raynal, Anecdotes Littéraires, ou Histoire de ce qui est arrivé de plus singulier et de plus intéressant aux Ecrivains François depuis le renouvellement des Lettres sous François Ier jusqu’à nos jours. (Tome 2)
BENSERADE étant à l’Académie, y prit la place de Furetière qu’il n’aimait pas, et dit en s’y mettant : Voilà une place où je dirai bien des sottises. Courage, lui répondit Furetière, vous avez fort bien commencé.
Là un à zéro ! Dans cet art si particulier de la conversation ! 😉
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J’ai aimé cette concision !
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PTDR ! Ma préférée dans les petites phrases assassines fut celle adressée par Clemenceau en parlant du président Faure, qui venait de mourir (la pompe funèbre) : Il a voulu vivre César, il est mort Pompée 😆
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Oui, celle-là, elle est bien bonne (si j’ose dire) !
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Faut pas croire que les Académiciens sont des anges 🙄
Il doit y en avoir des tonnes d’anecdotes de ce genre 😆
Bisous
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C’est fort possible, oui !
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j’aime beaucoup: quelle répartie 🙂
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Oui !
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