
Je vous parlais hier d’une nouvelle de Mishima. Voici à présent l’essai de Marguerite Yourcenar sur cet auteur japonais.
« La vie humaine est brève, mais je voudrais vivre toujours. » (P150) Tels sont les derniers mots écrits de la main de Mishima avant de se donner la mort. Des mots aussi puissants que l’oeuvre de cet écrivain maudit. Yourcenar nous relate ici les aspects importants de la courte vie de l’auteur japonais et entreprend d’expliquer, à travers les us et coutumes du pays du soleil levant, les textes de celui qui restera célèbre pour son fameux Pavillon d’Or.
Cet essai est fort instructif et je ne regrette pas de l’avoir lu. Dans un premier temps, parce que je connaissais mal cet auteur et ses oeuvres, dans un second temps parce que cela m’a donné envie de pousser plus loin les recherches et de lire les romans de Mishima. Je ne peux m’empêcher de citer les paroles de sa mère, à l’annonce de son décès : « Ne le plaignez pas. Pour la première fois de sa vie, il a fait ce qu’il désirait faire. » (P158)
La vision du vide… pour cela, je regarde nos gouvernements… 😆
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😂😂😂
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Tu es à fonds avec Mishima 😉
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En fait, j’avais le livre de Yourcenar qui trainait depuis longtemps sur mes étagères. Et je me suis dit qu’il valait peut-être mieux que je lise un peu de Mishima avant d’attaquer la lecture de celui-ci.
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J’ai lu quelque chose sur Mishima (ou de Mishima, je ne sais plus ^^) il y a quelques années.
Le regard de Marguerite Yourcenar sur cet auteur m’intéresse, merci pour la référence…
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Avec plaisir !
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