
Ne vous laissez pas avoir par la taille. Si ce pavé contient presque 500 pages et pèse 1049g (si, si ! Je l’ai pesé ! Ce n’est pas pour vos sacs à main Mesdames !), il n’est pas lourd à lire pour deux sous. Ce roman graphique (c’est mon premier ! J’ai même été obligée d’aller chercher la définition, ne comprenant pas bien la différence avec la BD) met en valeur Olympe de Gouges, née Marie Gouze, une maîtresse-femme ne s’en laissant pas compter. Mariée très vite, à l’âge de seize ans, à un bon parti, Louis-Yves Aubry, officier de bouche de l’Intendant, elle fut veuve tout aussi vite, non sans avoir donné le jour à un fils, Pierre. Ce veuvage fut le déclic pour défendre les valeurs féminines. Courtisée par tous, fréquentant les salons, elle eut un rôle déterminant dans l’avancée des mentalités.
Même si je ne trouve pas que les dessins, dans le détail et notamment les représentations des visages, soient parfaits, le scénario reprend avec précision la vie d’Olympe. Le graphisme est, finalement, à prendre dans son ensemble. J’avoue que sans l’aide de cette BD, je n’aurais pas porté attention à ce personnage haut en couleur.
ce roman graphique m’a beaucoup plu, un petit bémol aussi pour les dessins mais j’en suis sortie fascinée par Olympe de Gouges et envie d’en savoir plus 🙂 vu l’état de ma PAL cela risque d’attendre encore un bon moment 🙂
je commence à suivre les chroniques presque tous les jours,il y a du progrès, pour les anciennes on va y aller en douceur (comme tu en as publié une par jour en moyenne…
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Celle-ci est une ancienne mais les autres ne le sont pas. Je suis dans ma phase BD.
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