Metin Arditi, que je découvre, imagine la dernière correspondance de Vincent Van Gogh à son frère Théo. En peu de pages (une quarantaine), on perçoit déjà le personnage, confus, déchiré mais dont le talent artistique prend le pas. Toutes ces pages évoquent les couleurs, celles pour lesquelles le peintre vivait. On imagine également sa souffrance. Certes, nous savons qu’il avait des accès de folie mais il regrettait également le manque de considération de sa famille, et notamment de son père, envers lui.
Je trouve que Metin Arditi est très fort dans son genre. Concentrer autant d’idées, de ressentis, de sentiments, en si peu de pages, c’est de l’art ! Au même titre que le peintre doit tout nous faire comprendre en un coup d’oeil sur sa toile, l’auteur a réussi avec brio cet exercice.
Challenge Les textes courts.
Genre : Lettre
Auteur : Metin Arditi
Pays : Suisse
Nombre de pages : 43 pages
De Metin Arditi, j’ai bien aimé L’enfant qui mesurait le monde!
(video et extraits ici: https://adrienne414873722.wordpress.com/2017/09/17/o-comme-ordre-du-monde/)
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Merci ! 😘
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j’ai tout aimé jusqu’à présent avec beaucoup de coups de cœur en plus.
celui-ci est pour moi, en plus j’aime énormément Van Gogh (« que les blés sont beaux » de Alain Yvars sur les derniers mois était aussi un plaisir 🙂
Il faut que je trouve ses premiers livres….
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Il faut que je lise le livre d’Alain Yvars. Il est dans ma PAL. J’aime aussi beaucoup Van Gogh. 😉
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je ne connais pas merci une fois encore de la découverte
belle soirée
bisous
patricia
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Avec plaisir !
Bisous.
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