
Chesa Seraina, ce titre peut paraître bizarre à la première lecture. Mais lorsqu’on sait que cela veut dire « maison sereine » et que l’on voit la couverture, on comprend qu’il s’est passé quelque chose. La narratrice, Elena, y est née ainsi que sa soeur, Rose. Malheureusement, un feu de cheminée aura eu raison de l’habitation. Simple fait divers me direz-vous, bien malheureux cependant. Si la famille s’en est remise, Elena, quant à elle, n’oublie pas et se met en tête de reconstruire cette maison. Elle entretient, pendant tout ce temps, une correspondance avec son ami Jean.
Si j’ai été, au début, un peu déroutée par l’écriture de Fanny Desarzens, je dois dire que je me suis vite laissée embarquer dans cette histoire très symbolique d’une reconstruction. J’ai refermé le livre avec une boule dans la gorge et une seule déception, que cette lecture se finisse.

Une étrange couverture effectivement et ton billet donne envie de lire ce roman, merci et bon weekend 🙂
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Il est génial et prenant !
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Hello Lydia
Je zappe un peu tes billets de lecture en ce moment car j’ai vraiment attrapé une tricotine aigüe 😉
Une double reconstruction, alors, dans ce roman ? Tu me tentes !
Je ne connais pas cette auteure.
Bisous
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Je ne la connaissais pas non plus, c’est une amie qui me l’a faite découvrir. J’ai vraiment accroché.
Gros bisous.
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Le bouche à oreille en littérature, ça marche bien aussi 😆
Bisous
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Oui, ça aide bien !
Bisous.
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J’aime quand même bien avoir mes idées et mes choix persos 😉
Bon mardi
Gros bisous
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😘
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Ton billet donne envie de découvrir ce livre !
Bon week-end !
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Merci !
Bon week-end !
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