Quatrième de couverture :
Loin du bruit du monde, Clémence, bientôt huit ans, grandit auprès de parents rivalisant de fantaisie. Mais elle n’a pas la voix d’une petite fille et ses mots sont ceux d’un mystère cruel. Que s’est-il passé pour que l’innocence se borde ainsi de noir ? Plongée vertigineuse et poétique dans le monde de l’enfance, Je voudrais que la nuit me prenne raconte le danger du bonheur. Entre trouble et éclairs de joie, Isabelle Desesquelles explore le lien fragile et inaltérable qui nous unit à nos plus proches. Et la redoutable force du souvenir.
Mon avis :
J’ai vraiment apprécié ce roman. Au fil des pages, la tension monte. Le roman démarre comme un roman autobiographique, avec une narratrice, Clémence, nous racontant des événements marquants de sa vie comme la rencontre avec celui qu’elle aime, Just, ou ses jeux d’enfants – certes particuliers – avec Lise, sa cousine. Rien de particulier au premier abord. Elle nous présente ceux qui l’entourent : le papa, instituteur, la maman un peu fofolle. Il y a beaucoup d’amour dans le foyer. Cet amour qui sera le fil conducteur du livre.
Pourtant tout n’est pas rose et l’on décèle à un moment donné un changement de ton. La petite fille de 8 ans, certes mature, commence à raconter des choses qu’elle n’aurait pas dû voir, pas dû entendre, pas dû dire. Là, on se dit qu’il y a un souci… Comment une gamine de cet âge peut-elle s’exprimer ainsi et avoir une analyse aussi fine de la situation ?
Il faudra attendre la fin du roman pour comprendre tout ceci. Une fin puissante et sans égal. Il s’agit vraiment d’un roman à découvrir dont l’écriture accroche le lecteur.
À découvrir !
Et je le note pour une prochaine lecture.
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Chouette !
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Ça marche bien, un billet comme ça !
C’est malin ! Maintenant j’ai envie de le lire !
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C’est fait pour, M’dame ! 😉
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C’est d’autant plus malin qu’il ne paraîtra que le 18 août !
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Je n’avais pas fait attention. Je l’ai eu sur Babelio et je n’ai pas regardé la date de parution.
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Pas trop de violence ?
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Tout dépend de ce que l’on entend par violence. Non, je ne dirai rien !!!
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Tu m’intrigues avec ce livre
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Je l’ai découvert par une Masse Critique Babelio. Il est vraiment chouette !
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je ne connais pas du tout l’auteure alors pourquoi pas? Mais pas tout de suite, je suis plongée dans mon questionnaire FNAC pour évaluer les 5 romans que j’ai lus (3 étant des pavés de 500 à 600 pages!)
donc pause polar en vue
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Je comprends oui !
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Le titre est intrigant et on peut imaginer moult réponses… Si elle avait 18 ans, je proposerais une solution, mais pas à 8 ans !! 😉
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Aucun rapport avec ce que tu peux imaginer !
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Je m’en doutais un peu… Faudrait qu’un jour je me « fesse » soigner, moi 😆
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😛
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Ha oui, ça donne envie, mais donc ce n’est pas en poche ! Est-ce un premier roman ? Tu m’as aussi donné envie !
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Non, ce n’est pas en poche. Après renseignements pris auprès de mon ami Google, c’est loin d’être son premier roman puisqu’elle a publié le 1er en 2004.
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Hello Lydia
Et bien, tu vois, tout arrive, je suis chez toi sur un billet de lecture et tu me donnes envie de lire ce roman 😆
Gros bisous
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Ah, ça c’est une bonne nouvelle !
Gros bisous !
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J’essaie d’être raisonnable en ce qui concerne les tentations littéraires.
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Je comprends.
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