Hazel, pseudonyme d’Alice, trentenaire paumée qui promène son mal-être avec elle. Hazel, petit oiseau fragile sous une carapace de fille facile. Hazel, image de fille facile zébrée de traces de ses frasques avec la drogue…
Sarah Koskievic met en scène un univers glauque, une atmosphère pesante dans laquelle gravitent des personnages dignes d’un film. Ce roman polyphonique est écrit avec une vigueur qui colle à merveille au scénario. La plume est acerbe, mettant en relief toute la profondeur de cette jeune femme à laquelle on finit par s’attacher.
Merci à NetGalley ainsi qu’aux Éditions de La Martinière pour cette découverte.
Oui, mais non…. pas trop envie de glauque pour le moment (combien de temps vais-je tenir ?).
J’aimeAimé par 1 personne
Va savoir ! 🤣
J’aimeAimé par 1 personne
:p
J’aimeAimé par 1 personne