
Oui, vous avez bien lu, Martine nous propose de plancher sur un mot complètement tordu : Quiproquo.
Voici ma définition « dingote » :
Quiproquo : Etymologie latine. Association de deux termes : quid (pourquoi) et procare (demander). Les grands orateurs latins, fâchés par les questions idiotes de la plèbe, avaient pour habitude de prononcer « quid proco ? » signifiant « pourquoi, je me le demande » ? Tout ceci de manière ironique. Les discours de Cicéron en sont ponctués. Ainsi, dans le De Republica, il dira : « Les plébéiens devraient s’appeler plaies béantes. Ils posent des questions insensées. Que leur répondre à part quid proco ? Mais même ça ils ne comprennent pas. Ils pensent qu’on se pose véritablement la question. Comment faire une République avec de telles personnes incapables de comprendre les finesses de l’esprit ? »
L’expression a désigné par la suite un benêt posant des questions idiotes. L’orthographe vient des différentes traductions. On retrouve le terme chez le célèbre dramaturge Molière qui, à ses débuts, avait créé une pièce intitulée Le Quiproquo ridicule, pièce tombée dans les oubliettes.

Plébéiens, plaies béantes ! Je prends 😉
J’aimeAimé par 1 personne
C’est cadeau !!! 😄😄😄
J’aimeJ’aime
très originale! les plaies béantes me plaisent bien aussi:-)
le « quiproquo ridicule » me sied bien aussi 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
😄😘
J’aimeAimé par 1 personne
Si je comprends bien, c’est l’ancêtre dans Sandents d’aujourd’hui !
J’aimeAimé par 1 personne
😂
J’aimeJ’aime
Oh oui ! J’ai, moi aussi, trouvé une référence chez Molière
https://oncledan.blogspot.com/p/quiproquo.html
(Belle illustration !)
J’aimeAimé par 1 personne
Le fameux « Naturiste malgré lui », j’adore !!!
J’aimeJ’aime
excellent une fois encore vraiment je t’admire de tant d’imagination et de talent
pourquoi, je me le demande….LOLLLLLLLLLLLLL
belle soirée
bisous
patricia
J’aimeAimé par 1 personne
😂😂😂
Je vais rougir !
Gros bisous ! 😘
J’aimeJ’aime